25 avril 2024 9h00-10h30 – Webinaire AJE : Solutions fondées sur la Nature, un programme national de recherche copiloté par le CNRS et l’INRAE

Les Solutions fondées sur la Nature (SfN) sont des approches de protection, restauration ou gestion des écosystèmes avec des impacts positifs sur le plan sociétal, environnemental, économique et sur la biodiversité. Le 5 avril dernier, un programme national de recherche sur les SfN a été lancé en présence d’Antoine Petit, président-directeur général du CNRS et de Philippe Mauguin, président-directeur général d’INRAE. La France est à la pointe de la recherche dans ce domaine. Financé à hauteur de 44,2 M€ sur 9 ans (2023-2032) par le plan d’investissement France 2030, il est porté par le secrétariat général pour l’investissement et opéré pour le compte de l’État par l’ANR. Dans le cadre de son premier projet ciblé, ce programme comprend 11 « living labs » dédiés aux SfN, dont les champs d’application concernent essentiellement : le milieu côtier, le milieu urbain, le milieu agricole, les aires protégées. L’AJE vous invite à un webinaire sur la définition et le périmètre des SfN, les défis à relever et la place des SfN dans la lutte contre l’effondrement de la biodiversité et pour l’adaptation au réchauffement climatique. Les deux co-pilotes scientifiques présenteront  le programme de recherche national « Solutions fondées sur la Nature », ou comment innover avec la nature pour des impacts positifs sur la biodiversité, la société et l’économie, et répondront à vos questions :

  • Martine Hossaert, directrice de recherche émérite au CNRS au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE, CNRS/EPHE – PSL/IRD/Université de Montpellier) et conseillère scientifique Biodiversité et Outremer auprès de CNRS écologie & environnement.
  • Thierry Caquet, directeur scientifique Environnement d’INRAE, membre du Conseil d’administration de la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB), membre du conseil scientifique de l’Office national de la  biodiversité (OFB) ou encore du Conseil scientifique et technique de l’IGN.

Webinaire organisé et animé par Esther Amar, journaliste scientifique, vice-présidente et cofondatrice de l’AJE, Association des journalistes de l’Environnement. Bientôt ici la vidéo du webinaire

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8 avril 2024, de 11h30 à 12h30, Webinaire AJE : Les journalistes « environnement » sont-ils maltraités ?

L’AJE a reçu Michel Forst, rapporteur spécial de l’ONU sur les défenseurs de l’environnement, au titre de la convention d’Aarhus

Avec Sainte-Soline ou les « écureuils » du projet d’autoroute A69, la France a découvert l’existence d’un rapporteur spécial de l’ONU sur les défenseurs de l’environnement, au titre de la convention d’Aarhus. Si le poste est nouveau, son titulaire est bien connu des militants des droits de l’Homme. Après avoir fait ses classes aux Amis de la Terre, dans les années 1970, Michel Forst a dirigé la branche française d’Amnesty International, la Ligue nationale contre le cancer ou la Cimade. Après un rapide passage à l’Unesco, Michel Forst prend les rênes du  Service international pour les droits de l’homme.

Il organise aussi deux sommets onusiens consacrés à la promotion des droits humains. Ce qui lui vaudrait de diriger des missions de l’ONU et d’occuper le poste de Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme. En 2022, il devient le premier rapporteur spécial sur les défenseurs de l’environnement. En mars, Michel Forst publie un « papier de positionnement » consacré à la « répression par l’État des manifestations et de la désobéissance civile environnementales. » Dans ce document, il dénonce les dérives des forces du maintien de l’ordre (notamment le harcèlement, les poursuites et les maltraitances des journalistes venus couvrir les manifestations environnementales), la criminalisation de mouvements environnementalistes, la restriction de l’espace civique et de l’exercice des libertés fondamentales. Autant de sujets qui méritent toute l’attention des membres de l’association des journalistes de l’environnement. Rencontre organisée par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE. S’inscrire à son infolettre : aarhus-envdefenders@un.org / Vidéo du webinaire ici

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5 avril 2024, 9h00-13h00 : Webinaire AJE Espèces Exotiques Envahissantes, un fléau économique, environnemental et humain. Comment agir ?

En France, on compterait aujourd’hui 1400 espèces exotiques de flore et 700 espèces de faune, dont toutes n’ont pas forcément un impact négatif. 70% des espèces exotiques introduites seraient inoffensives. Les EEE accaparent une part importante des ressources (espace, lumière, ressources alimentaires, habitat…) au détriment des espèces locales. Elles constituent un danger pour environ un tiers des espèces terrestres et ont contribué à près de la moitié des extinctions connues à l’échelle mondiale. Néanmoins, ce sont les 30% restants qui inquiètent, et représentent un risque direct pour l’homme en étant vectrices de pathogènes (moustique tigre), allergisantes (ambroisie) ou par un comportement agressif. AvecFranck Courchamp, CNRS, directeur de recherche : présentation générale introductive ; conclusions du dernier rapport IPBES-EEE, auteur et porte-parole pour les médias francophones ; le vrai coût des invasions biologiques ; Yohann Soubeyran, UICN des Etats membres de l’UE (Bulgarie, Irlande, Grèce, Italie, Lettonie, Portugal) sont poursuivis pour avoir échoué à éviter l’invasion des EEE. Assiste-t-on à une judiciarisation ? ; Clara Marino (par zoom) Université Paris-Saclay, FRB-CESAB :  biologiste, Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution (ESE) : conséquences écologiques des invasions biologiques sur les vertébrés terrestres à l’échelle macro-écologique ; Arnaud Albert, OFB : chargé de mission et de recherche “espèces exotiques envahissantes », expert-référent national “plantes exotiques envahissantes”  ; David Renault (Université Rennes 1) : invasions en régions polaires notamment dans les île subantarctiques françaises où des suivis ont été récemment labellisés par le CNRS Ecologie & Environnement ; Christophe Pineau, Cerema : Chef du groupe ingénieurie écologique, guide des EEE et des infrastructures. Webinaire organisé par Esther Amar vice-présidente de l’AJE, avec Hélène Bouillon, Clara Delpas, Dominique Martin-Ferrari, membres du bureau de l’AJE, Vidéo du webinaire ici

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PARTENARIAT AJE  – 4 avril 2023 – PEXE Forum national des éco-entreprises, 15ème édition

L’AJE est partenaire du 15ème Forum organisé par le PEXE et l’ADEME,
Le Forum est le rendez-vous national de la filière.
Participez au trophée de l’éco-entreprise innovante et découvrez les meilleures innovations pour la transition écologique. Plus de 500 participants assisteront à cette journée business et innovation. En savoir plus

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2 avril 2024 – 9h30-12h00 : Webinaire AJE, Végétaux issus des Nouvelles Techniques Génomiques (NGT), enjeux, risques et perspectives

L’été dernier, la Commission européenne a présenté une révision de sa législation de 2001 sur les OGM. Elle a décidé d’exclure des obligations d’évaluation, de traçage et d’étiquetage certains végétaux obtenus par NGT(1) au motif qu’ils seraient « identiques » aux végétaux obtenus par sélection naturelle. Approuvée par la commission ENVI (environnement, santé publique, sécurité alimentaire) du Parlement européen le 24 janvier dernier, la loi a été adoptée 15 jours plus tard, par les parlementaires européens, sous réserve toutefois d’une interdiction de brevetabilité de ces végétaux et… d’une obligation de traçabilité et d’étiquetage jusqu’au produit final !  La loi qui ne fait pour l’instant pas l’unanimité au sein de l’Europe (2) devrait être adoptée dans le courant de la prochaine mandature. Or de nombreuses  questions demeurent. Les variétés obtenues par NGT sont-elles vraiment identiques à des variétés conventionnelles qui auraient évolué naturellement ? Peut-on les détecter par des tests génomiques ? Leur non-brevetabilité offre-t-elle une garantie suffisante pour empêcher la privatisation de nos ressources alimentaires ? Peut-on  affirmer qu’il n’y a aucun risque pour la santé ou l’environnement ? Peuvent-elles coexister avec le bio (3) ? Quelles conséquences pour les paysans… et les consommateurs (droit à l’information, liberté de choix ) ?

Avec :

Fabien Nogué, généticien moléculaire à l’Institut Jean-Pierre Bourgin INRAE Versailles, un des plus grands centres de recherche européens dans le domaine de la biologie des plantes ; Olivier Lucas, gestionnaire de la création de valeur chez RAGT (Rouergue Auvergne Gévaudan Tarnais), entreprise distributrice de semences de grandes cultures ; Isabelle Goldringer et Jérôme Enjalbert, généticiens agronomes à l’UMR Génétique Quantitative et Evolution Le Moulon, unité mixte de recherches INRAE-Paris Saclay travaillant sur les aspects théoriques et appliqués de l’évolution et de la génétique quantitative (plantes et levures) ; Guy Kastler, paysan retraité, philosophe, coordinateur du groupe semences-OGM  de la coordination européenne de la Via campesina, mouvement international associant 182 organisations paysannes issues de 81 pays ; Céline Druet, Directrice adjointe à l’évaluation des risques de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), sur l’avis relatif aux méthodes d’évaluation des risques sanitaires et environnementaux et des enjeux socio-économiques associés aux plantes obtenues au moyen de certaines NTG ; Dylan Cherrier coordinateur d’expertise sur les biotechnologies à l’Anses.

Webinaire organisé par les journalistes Clara Delpas, membre du bureau de l’AJE et Elsa Casalegno, adhérente AJE

(1) Les NGT (nouvelles techniques génomiques ) existent depuis plus de 10 ans et comprennent diverses techniques de génie génétique (mutagenèse dirigée, cisgenèse,CrisprCas9… ). Elles promettent d’adapter les plantes plus rapidement à la sécheresse…  (2) La France est favorable au texte :  son ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, avait déclaré vouloir promouvoir les NGT avant même que le Cese (Conseil économique, social et environnemental) et l’Anses, saisis par l’Etat en 2023, ne rendent leurs rapports. Et ces derniers ont beau formuler des réserves, le ministre ne modifiera pas sa ligne, d’après les réponses de Mme Pannier-Runacher lors des questions au gouvernement.  (3) En octobre 2023, une tribune dans le Monde signée par 20 chercheurs soulignait que les NGT seraient particulièrement bien adaptées aux pratiques de l’agriculture biologique … (le génie génétique reste néanmoins interdit en bio)

Vidéo du webinaire ici

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28 mars 2024 de 11h à 12h15 : Webinaire AJE « Financer les programmes nucléaires d’EDF »

Vingt ans après avoir mis en service la dernière centrale du plan initié, en 1973,  par Pierre Messmer, EDF relance un programme électronucléaire. Pour le moment, la jauge est plus modeste. Il s’agit de bâtir, en France, trois paires de réacteurs EPR-2. Dans un second temps, huit autres tranches pourraient être ajoutées au parc atomique de l’Hexagone. Reste à savoir comment financer un tel chantier ? A l’instar de la première génération de l’EPR, le coût de ses lointains successeurs ne cesse de grimper. Et les dates de mise en service s’éloignent de semestre en semestre. Des conditions a priori inacceptables pour des investisseurs privés. Comment une entreprise publique surendettée pourra-t-elle payer des réacteurs qui, pour le moment, n’existent que sur le papier ? Question qui se pose aussi pour la poursuite du second programme nucléaire d’EDF, qui se poursuit lentement au Royaume-Uni. Pour tenter de répondre à cette question, l’AJE a convié Patrice Geoffron à un webinaire. L’occasion aussi d’évoquer les différente financeurs possibles, les modes de financement plus ou moins exotiques. Professeur d’économie à l’université Paris Dauphine, Patrice Geoffron dirige actuellement l’équipe de recherche sur l’énergie et le climat. Webinaire organisé et animé par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE. Vidéo du webinaire ici 

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27 mars 2024 de 10h30 à 11h30 : Webinaire AJE « La Cour Internationale de Justice va-t-elle obliger les Etats à se décarboner ? »

Saisie par l’Assemblée générale des Nations Unis, la Cour Internationale de Justice (CIJ) rendra bientôt un avis sur le changement climatique, les droits humains et les générations futures, déterminant quelles sont les obligations et responsabilités des États de les protéger.

Jusqu’au 22 mars, les États peuvent rendre par écrit à la CIJ une contribution expliquant quelle interprétation doit être donnée au droit international et quelles sont leurs obligations et responsabilités à agir pour protéger les États insulaires et les générations actuelles et futures. Déterminant si les États ont des comptes à rendre et précisant le cadre international légal : cet avis consultatif sera retentissant. Les soumissions des États aux juges de la CIJ seront décisives. Afin de comprendre comment l’avis de la CIJ peut changer les choses pour la justice climatique, et pourquoi le 22 mars constitue une première étape importante, l’AJE a reçu :

  • Lolita Couchene (World’s Youth For Climate Justice)
  • Altynaï Bidaubayle (Réseau Action Climat)

Les principaux enjeux :

➢ la parution de ces contributions sera l’un des premiers signaux envoyés à la jeunesse pour voir si les États ont pris en considération les arguments et principes juridiques portés par leurs organisations ;

➢ L’occasion pour les pays dits du Sud de se faire entendre sur un pied d’égalité, avec le même temps de parole et sur des bases juridiques devant des juges impartiaux ;

➢ Une voie complémentaire aux négociations climatiques qui peinent à montrer des résultats effectifs face à l’urgence

➢ Une interprétation du droit international par la plus haute cour internationale et la légitimité

associée précisant les obligations des États à agir.

➢ Une approche holistique des droits humains, de la mer et du climat

➢ Les États donnent leurs avis sur leurs responsabilités au regard des textes sur lesquels ils se sont engagés. Quel est l’utilité du droit international pour résoudre les changements climatiques ?

Qu’attendre d’un avis consultatif de la CIJ sur le climat : Si les avis consultatifs rendus par la Cour ne sont pas contraignants, celui-ci pourrait contribuer à des changements et des développements significatifs dans le droit ainsi que dans la diplomatie mondiale.

Webinaire organisé et animé par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE. Vidéo du webinaire ici

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19 mars 2024, En Métamorphose et Montpellier 2050, « Territoire(s) d’eau – Du global au local : savoir, gouverner, décider »

Après le colloque RIO+30 du global au local en 2022, et les rapports du GIEC, nous poursuivons en 2024, notre réflexion sur l’eau et notre territoire. La Méditerranée se réchauffe deux fois plus vite que les autres mers. Par ce réchauffement elle impacte le changement climatique sur ses rivages. Les conséquences directes affectent la montée des eaux sur notre littoral.

Pour autant face au trop d’eau souvent annoncé, nous vivons également le manque de pluie et des périodes de sécheresse plus longues et plus fréquentes. Il faut donc intégrer incertitudes, aléas et risques dans la gestion des territoires, accorder place aux questions environnementales dont dépend le développement durable.
Certes, les urgences sont d’ordre planétaire, mais régionalement les territoires se doivent d’apporter des réponses adaptées à chaque lieu de vie. Le secrétaire de Nations Unies a remis l’eau au cœur des préoccupations en 2023 ; à la COP 28 Emmanuel Macron a rappelé l’importance de cet enjeu.

Dans le cadre du Grand Territoire de Montpellier Métropole, nous proposons de prendre la mesure des actions en cours et à engager pour tracer le long chemin de l’indispensable transition écologique. Conférence organisée par Dominique Martin-Ferrari, membre du bureau de l’AJE. Programme // Compte-rendu et liens vidéos

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15 mars 2024 à 11h30, Conférence AJE « L’apithérapie : notre santé en fécondant la planète »

Avec Catherine Ballot-Flurin, Atelier-découverte au Salon « Vivre autrement »En 1976, Catherine a 20 ans, elle est fascinée par la vie des abeilles et veut devenir apicultrice. En centre de formation elle découvre les bases de ce métier passionnant, mais l’apiculture productiviste qui lui enseigne les fondamentaux, avec des méthodes d’élevage intensif, parfois brutales, le recours aux antibiotiques et aux désherbages polluants. Catherine fera dès lors tout l’inverse et mettra au point une méthode d’Apiculture DOUCE® basée sur le respect des abeilles et leur biorythme naturel. Un nouveau monde s’offre à elle : celui du peuple de la Ruche, vieux de millions d’années, qui ne cessera de lui délivrer ses secrets. Conférence organisée par Véronique Hamel, membre du bureau de l’AJE. Vidéo du webinaire ici

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13 mars 2024 à 10h30, Webinaire AJE avec Cédric Philibert :  » Pourquoi la voiture électrique est bonne pour le climat ? « 

Alors que les ventes de véhicules à batterie battent des records, tout le monde n’est pas convaincu des bienfaits climatiques de l’héritière de la Jamais Contente.

Elle consommerait trop de métaux précieux, contribuerait à détruire d’innombrables biotopes, polluerait autant que ses cousines à moteur thermique, serait réservée aux plus nantis.

Pour en avoir le cœur net, l’AJE a reçu Cédric Philibert, auteur du livre « Pourquoi la voiture électrique est bonne pour le climat » (éditions Les petits matins/Institut Veblen). Ancien journaliste, Cédric Philibert est aujourd’hui chercheur associé à l’Institut français des relations internationales. Il a travaillé à l’Ademe et à l’Agence internationale de l’énergie. Webinaire organisé par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE. Vidéo du webinaire ici

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20 février 2024 à 10h30, Webinaire AJE: Changement climatique : les assureurs vont-ils encore nous assurer ?

Retrait-gonflement des argiles, inondations flash, submersions marines, sécheresses : les effets du réchauffement se font de plus en plus sentir dans les régions de l’Hexagone et des outre-mer.
Cette accumulation met à mal le système d’indemnisation des dégâts imputables aux catastrophes naturelles. Sans réforme d’ampleur, il ne pourra résister très longtemps à notre manque d’adaptation et de résilience.
D’où la tendance, déjà observée, de certains assureurs de ne plus couvrir certains risques dans certaines régions. Un retrait rendu possible par la mise en œuvre de logiciels permettant de géocoder avec précision les zones à risques.

L’Agéa a publié, au début de l’année son Livre Blanc sur le climat où sont évoqués les risques de « désassurance » et les solutions à notre portée pour les minorer.  

Pour évaluer le risque de défaut d’assurance, l’AJE reçoit deux représentants de l’Agéa, fédération nationale des syndicats d’agents généraux d’assurance :
Pascal Chapelon, président, de l’Agéa (à droite sur la photo)
Grégoire Dupont, directeur général de l’Agéa (à gauche sur la photo)

 

Livre blanc Agéa : Les enjeux assurantiels liés au climat

Webinaire organisé et animé par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE.

La vidéo du webinaire, disponible ici

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PARTENARIAT AJE  – 8 et 9 février 2024 L’association Objectif RER métropolitains organise les Journées des Mobilités du Quotidien – à Strasbourg. Acteurs publics et société civile débattront des conditions de la réussite de ces projets à l’initiative conjointe de Objectif RER métropolitains  et de l’Association des Journalistes de l’Environnement. Deux rendez-vous vous sont proposés en introduction de ces premières Journées des Mobilités du Quotidien :

> le 24 janvier dernier, un webinaire a été spécialement conçu pour les journalistes AJE : Présentation de l’association et des Journées des Mobilités du Quotidien (JMQ).

> le 8 février de 11h à  12h30, pour ceux qui ne pourront pas être à Strasbourg, un nouveau webinaire est organisé sur place à Strasbourg, et permettra d’entendre des Témoignages de projets RER en direct des Journées des Mobilités du Quotidien. Le communiqué  – Inscription pour recevoir le lien de connexion au webinaire de témoignages : https://bit.ly/48PUQ0o

Journées des Mobilités du Quotidienhttps://bit.ly/3RVvZ4t / Contact :  Jean-Claude Degand:  06.10.01.73.44

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PARTENARIAT AJE – 4ièmes Rencontres Internationales Air – Santé, organisée par Atmo Occitanie à Toulouse et Montpellier les 6 et 7 février 2024. L’Ineris, Atmo France et Atmo Occitanie organisent, les 6 et 7 février à Toulouse, les Rencontres internationales Air et Santé (voir ci-dessous). L’occasion de faire le point sur les connaissances scientifiques, les enjeux sanitaires, les dernières recommandations de l’OMS, la mise en œuvre de la directive européenne, les relations entre changements climatiques et impacts sur la santé. Pour évoquer ces sujets, l’AJE a reçu le 31/01 dernier, lors d’un webinaire, animé par Valéry Laramée de Tannenberg, président de l’AJE, les deux grands témoins de ce colloque international : Corinne Lepage, avocate et ancienne ministre de l’environnement, à l’origine de la loi sur l’air et l’utilisation rationnelle de l’énergie en 1996 ; Et Fabien Squinazi, président de la Commission spécialisée risques liés à l’environnement, Haut Conseil de la Santé Publique. Les 4ièmes Rencontres Internationales Air – Santé,  : rencontres-air-sante-2024.com/fr/  karine.grimault@ineris.fr / Programme – Rencontres Internationales Air & Santé 2024 (rencontres-air-sante-2024.com)