Livres
Un livre indispensable sur un sujet essentiel, par Jean-Luc Fessard
Préambule : En toute objectivité je précise que je suis pronucléaire pour la recherche fondamentale sur l’infiniment petit et l’infiniment grand, pour la recherche et les applications médicales. Avec notre impuissance par rapport à ce que fait Poutine en Ukraine j’ai des doute sur le nucléaire militaire. Et je trouve que la production d’énergie nucléaire est durablement dangereuse et onéreuse.
Des décisions pour le quinquennat qui vient
Le livre d’Antoine de Ravignan est un dossier indispensable pour tous ceux qui s’intéressent aux enjeux énergétiques de notre pays et de notre planète. Alain Grandjean (président de la FNH) dans sa préface explique : « Les décisions sont là, à prendre dans le quinquennat qui vient. Elles engageront notre capacité à produire à tout instant l’électricité dont nous avons besoin au quotidien pendant les prochaines décennies , à respecter nos engagements climatiques, à limiter les risques sanitaires ; elles toucheront de nombreux emplois ; elles concernent des filières industrielles (nucléaires et renouvelables) sensibles ; elles auront des impacts sur notre facture d’électricité, sur nos paysages, etc. Bref nous sommes vraiment concernés par cette question »
Un dossier étayé
Antoine de Ravignan présente, toutes les facettes et enjeux de l’énergie nucléaire, depuis ses débuts, jusqu’à aujourd’hui ou se pose le problème de relancer ou non la construction de réacteurs. Il propose un dossier étayé sur tous les arguments, des pros et des antis nucléaires, ainsi que ceux des pros et des antis ENR. Tout est explicité et chiffré pouvant ainsi servir de base au débat :
- Les finances d’EDF et d’Orano face au double mur du grand carénage et de la relance du nucléaire,
- la probabilité pour la France de vendre ou non ses nouveaux équipements dans le monde,
- les risques et les conséquences d’éventuels accidents, le traitement et le stockage des déchets. A ce propos il explique : « Nous avons vu … que les coûts présents et futurs, économiques, écologiques et sanitaires des déchets nucléaires et de leur gestion, depuis la mine jusqu’au démantèlement en passant par le retraitement étaient très élevés. Cet enjeu est remarquablement absent du discours politique majoritaire sur le nucléaire. Et il est remarquablement absent d’une façon générale du débat politique. ».
- Il analyse les divers scénarios énergétiques face au changement climatique, l’état des centrales existantes et la possibilité de prolonger leur durée de vie au-delà des 40 ans initialement prévus, notre indépendance ou non dans notre production d’énergie, le rôle des acteurs de la sécurité nucléaire.
Pour un débat démocratique autour de l’énergie
Son livre est un plaidoyer pour un débat démocratique autour de l’énergie en France, de sa production à sa consommation. Il précise : « Cependant, pour être légitime, un tel soutien public doit procéder d’un choix de société. Cela vaut pour toutes les technologies, sans exclusive. Les légitimités du soutien au nucléaire et du soutien aux énergies renouvelables doivent être un construit social. Cela passe par de la discussion collective. Force est de constater que la discussion sur les soutiens au nucléaire n’existe pas dan l’espace publique… à la différence de la discussion du soutien aux énergies renouvelables, un sujet beaucoup plus médiatique et dont on ne parle en général que pour en dire du mal. »
Un livre à lire absolument pour comprendre tous les enjeux énergétiques de notre pays et aller au-delà des discours réducteurs qui incitent à baisser son chauffage de un degré.
« Nucléaire, stop ou encore ? » aux éditions les Petits matins, par Antoine de Ravignan adhérent de l’AJE
Jean-Luc Fessard, adhérent de l’AJE
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« Cause animale, Cause paysanne » par Jean-Luc Fessard, membre de l’AJE, président de Bon pour le Climat
Il faut absolument lire ce livre composé d’une cinquantaine de témoignages d’éleveuses et d’éleveurs qui y expliquent leur objectif : « des campagnes vivantes avec des paysans nombreux. Des paysan-ne-s reconnus dans la société : un droit au revenu pour toutes et tous, une bonne qualité de travail et de vie, une reconnaissance de notre rôle dans l’aménagement du territoire et la préservation de l’environnement, du lien social retrouvé dans des zones rurales dynamiques ». Cet objectif nous pouvons tous le partager, car il devient totalement pertinent en ces temps de pandémie où il est vital de retrouver une indépendance alimentaire dans les territoires.
Les témoignages proviennent de tous les types d’élevages et de zones rurales. Ils donnent une vision pertinente du rôle de l’élevage dans notre société et de sa nécessité dans notre alimentation. Ils se situent aux antipodes des dérives induites par l’industrialisation de l’élevage où les animaux deviennent du minerai. Et combien ces paysans sont affligés lorsque des activistes Vegan les assimilent à cette barbarie qui les révulse.
Dans le débat actuel sur la nécessité de réduire la part carnée de notre alimentation pour réduire son impact sur le climat, ces éleveuses et éleveurs montrent combien leurs pratiques d’élevage font partie de la solution.
Publié aux Editions Utopia, manifeste de la Confédération paysanne, paru en février 2020.
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Le défi climatique : catastrophe ou opportunité ? avec la contribution de Norbert
Parution le 22 avril 2020 du livre de Norbert Lipszyc (membre du comité directeur de France-Israël) et de Ezra Banoun (ingénieur et maître de Conférences au Collège de Galilée) aux Editions du Passy, tous deux ingénieurs des Mines. En dehors de l’approche internationale des COP (Conférences des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques) et de l’approche alarmiste multipliant les annonces de catastrophes « inéluctables », le public francophone est relativement peu informé des autres approches développées dans le monde pour faire face aux conséquences des défis climatique et écologique.
Le lecteur trouvera dans l’Avant-Propos du Livre l’analyse détaillée des six autres approches : supranationales, climato-sceptique, nationaliste, des Etats (tels l’Algérie, le Sénégal, Israël, l’Inde, la Chine), individuelle (de citoyens, d’entreprises, d’ONG, d’organismes publics et privés de toute taille) et l’approche combinant les initiatives individuelles et celle de l’Etat, mettant en œuvre des solutions pour faire face au défi climatique, même non jugées prioritaires par les accords internationaux. C’est le cas d’Israël combinant approches individuelles, d’ONG, d’universités et des pouvoirs publics au niveau local, régional et international avec les initiatives politiques de l’Etat, pour répondre aux aspects concrets, déjà constatés ou en cours d’apparition, de 10 défis écologico-climatiques que nous avons identifiés comme les plus importants.
Disponible sur de nombreux sites chez Decitre, Amazon…
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Cet ouvrage est le fruit d’une longue enquête, aux Etats-Unis et en Europe, où j’ai découvert que les financeurs des activistes végans sont aussi ceux des entreprises produisant des substituts industriels à la viande. Les ersatz de viande à base de protéines végétales sont déjà sur le marché mondial et la « viande » issue de la culture de cellules souches est annoncée commercialement sous les deux ans à venir. Laitage sans lait, omelette sans œuf, steak sans viande… L’empire du faux menace le monde naturel et la civilisation humaine née de, sur et avec l’agriculture.
L’enquête dévoile les liens et réseaux où se côtoient et s’épaulent milliardaires du numérique, scientifiques, fondations altruistes, start-upeurs, biohackers et transhumanistes. Le livre leur donne la parole.
Loin de l’anecdote, l’importance des investissements en faveur de ces alternatives à l’élevage témoignent d’un mouvement qui introduit une rupture fondamentale dans la manière de se nourrir et, au-delà, une rupture de notre relation à la nature et au monde en général. Rupture avec 10 000 ans de domestication et de compagnonnage avec les animaux d’élevage. Rupture avec les paysages sculptés par l’agriculture. Rupture du lien entre le champ et l’assiette, du lien entre nourriture et nature, au profit d’un lien au laboratoire et à l’usine. Cela change considérablement les représentations du monde et influe sur la construction des identités.
Tandis que l’activisme végan se charge de dégoûter les gens de manger de la viande, le lobbying pour l’acceptation légale de ses produits artificiels s’exerce déjà dans les couloirs des parlements nationaux et du parlement européen. L’enquête révèle les sommes d’argent public déjà allouées à ces laboratoires et entreprises au nom de l’innovation. Le livre va à la rencontre de scientifiques, agronomes, sociologue, philosophe pour réfléchir et résister à ce qui relève d’une tentative d’anéantissement de la civilisation de l’homo sapiens.
2019 « Survivre au péril plastique, des solutions à tous les niveaux », par Matthieu Combe
Un ouvrage écrit par Matthieu COMBE, fondateur de Natura-sciences.com
Lorsqu’il est question de la pollution plastique, nous avons tous les mêmes images qui nous viennent en tête : des montagnes de détritus, des continents de déchets dans nos océans, des poissons et des oiseaux aux estomacs intoxiqués – sans compter la pollution invisible de l’air, des sols et de notre alimentation due aux microplastiques. À ces drames écologiques s’ajoute l’évidente omniprésence de ce matériau dans notre quotidien. Le plastique est partout et s’est rendu indispensable dans nos appartements, nos voitures, nos hôpitaux… L’immensité du problème donne le tournis : l’humanité a produit 8,3 milliards de tonnes de plastique depuis 1950.
« Survivre au péril plastique, des solutions à tous les niveaux », collection Les petits ruisseaux, Ed. Rue de l’échiquier.
2019 « Agir pour le climat, Entre éthique et profit »
Par Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef au Journal de l’environnement et président de l’AJE.
Préfacé par Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, directrice de recherche au CEA et co-présidente du groupe nᵒ 1 du GIEC.
Depuis plus d’un quart de siècle, diplomates et experts de près de 200 pays réfléchissent aux moyens de ralentir le réchauffement climatique. L’accord de Paris, signé en 2015 à l’issue de la COP 21, en est l’aboutissement le plus visible.
Mais, devant la lenteur des avancées et la croissance des émissions de gaz à effet de serre, de nouveaux acteurs interviennent aujourd’hui et modifient les rapports de force : le monde de l’entreprise et de la finance, des collectivités, des ONG, des juristes et des avocats, sans oublier les organisations philanthropiques aux moyens quasi illimités et aux motivations parfois troubles. en savoir plus
2018, rencontre-signature « Bougez vert »
Livre co-écrit par Gérald Ariano est un animateur, journaliste et producteur touche à tout et Emilie Villeneuve, journaliste pour l’émission Bougez vert et déniche histoires, infos et anecdotes sur les régions parcourues et adhérente de l’AJE.
Jeudi 18 octobre à partir de 18h30, Gérald Ariano et Emilie Villeneuve seront à la Librairie Voyageurs du Monde pour une rencontre-signature
L’invitation à la rencontre-signature du 18 octobre 2018
À l’occasion des 10 ans de l’émission Bougez vert, diffusée sur Ushuaïa TV www.ushuaiatv.fr, retrouvez les bons plans et les idées de sorties 100% nature du magazine d’Ushuaïa TV. Des jardins Maria Serena à Menton à ceux du château de Versailles, de la réserve naturelle du Néouvielle au parc national des Écrins, de la côte des Sables à Roscoff aux îles de Lérins sur la Côte d’Azur, Gérald Ariano a mis sa curiosité et son enthousiasme à contribution pour tester pour vous les activités les plus originales.
Bougez vert, à la découverte de la France
Plus d’informations et recevoir un ouvrage
2018, Présentation du livre de Dorothée Browaeys « L’Urgence du vivant »
Dans notre monde en accélération, le vivant est en danger. Effondrement des espèces, dérèglement climatique, pollutions… Comment stopper la destruction de nos milieux de vie ?
Dorothée Browaeys est présidente de TEK4life, qui coordonne les plateformes de dialogues BIORESP, NANORESP et DIGIRESP, dédiées aux enjeux écologiques et sociaux des nouvelles technologies. Journaliste et fondatrice de VivAgora, elle collabore à la revue Études et au magazine en ligne UP’Magazine. Elle enseigne les controverses techniques et la concertation à Paris 7. Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages, dont Le Meilleur des nanomondes (Buchet-Chastel, 2009), Fabriquer la vie. Où va la biologie de synthèse ? (Le Seuil, 2011), et Cerveau, sexe et pouvoir (Belin, 2005).
L’invitation du 6 novembre 2018
Le changement climatique : Menace pour la démocratie ? par Valéry Laramée de Tannenberg, Préface de Jean Jouzel
Sécheresses d’ampleur inédite, inondations torrentielles, élévation du niveau des mers, chute des rendements agricoles, migrations humaines, etc., le changement climatique bouleverse nos vies sous bien des latitudes. Ses effets se font aussi sentir sur nos institutions politiques. Car, comme le soulignent climatologues, politologues et stratèges militaires, si le réchauffement n’engendre pas forcément les crises, il en amplifie sévèrement les conséquences : en durcissant les conditions de vie dans de nombreuses régions du monde, il déstabilise les pays à faible gouvernance et pousse les populations à émigrer. De même, il accentue la pression sur les terres arables et sur l’accès à l’eau, avec le risque d’engendrer de violents conflits. De quoi fragiliser les sociétés qui n’auraient pas anticipé cette évolution… Tout l’enjeu pour les démocraties est là : comment éviter que la crise climatique actuelle ne débouche sur des conflits politiques ? Quels modes de développement mettre en place pour faire face à ces défis ? Et comment financer cette véritable transition écologique ?
Ça chauffe dans nos assiettes Des recettes pour sauver le climat
Yves Leers, Jean-Luc Fessard, Préface de Olivier Roellinger
Près du tiers de nos émissions de gaz à effet de serre se cachent dans notre frigo : notre alimentation a un impact majeur sur le climat et inversement. Alors que le climat s’est déjà réchauffé de plus de 1 °C depuis un siècle et que le cap des 2 °C de plus sera sans doute atteint d’ici à 2030, nous n’avons plus le temps de « voir venir » ; c’est maintenant qu’il faut agir pour éviter des lendemains qui ne chanteront pas !
Et si c’était là une opportunité à saisir ? Les changements attendus sont de taille, pas question de demeurer les bras croisés. Nous devons – et nous pouvons – nous adapter, à la fois au niveau de la production, de la distribution et de la consommation. Comment ? En limitant l’utilisation de pesticides (fabriqués à partir de pétrole fortement émetteur de CO2), en privilégiant les produits locaux et de saison, en mangeant moins de viande mais plus de légumes, de légumineuses, de fruits… Et ça tombe bien, tout cela est excellent pour notre santé. Il s’agit donc en effet d’une opportunité : celle de vivre mieux, en choisissant les aliments les moins contaminés, les moins industriels, les plus variés et les plus équilibrés.
Nous devons nous réapproprier notre alimentation et « retrouver le jeu de cuisiner, c’est bon sur tous les tableaux », explique Olivier Roellinger dans la préface de ce livre dont le cahier de recettes « Bon pour le climat », proposées par des chefs engagés, donne des solutions concrètes pour une cuisine bas carbone savoureuse.
Membre de l’AJE, Yves Leers est journaliste, spécialiste du changement climatique et du développement durable. Il a longtemps travaillé à l’AFP dont il a dirigé la rubrique Environnement ainsi qu’à l’ADEME. Consultant sur les questions d’environnement, d’énergie et de climat, il a publié en 2015, avec Valéry Laramée de Tannenberg, Menace sur le vin, les défis du changement climatique (Buchet/Chastel).
Membre de l’AJE, Jean-Luc Fessard est journaliste spécialisé dans les questions d’environnement. Il est l’initiateur et l’animateur de l’association Bon pour le climat, dans laquelle des restaurateurs, des hôteliers, des traiteurs et des consommateurs s’engagent ensemble pour promouvoir une alimentation bas carbone.
Climat, un défi pour la finance, aux éditions Les petits matins,
La finance est au cœur des négociations sur le climat. Maintenir le réchauffement en deçà de 2 °C nécessite en effet une réorientation massive des investissements : il faut cesser de financer les secteurs fortement émetteurs de carbone, privilégier les activités « vertes » et soutenir de nouveaux modèles économiques. Mais le secteur est-il prêt à opérer cette mutation?
Les auteurs :
– Maria Scolan, directrice de projets climat à la direction de la stratégie de la Caisse des dépôts
– Pierre Ducret, conseiller du groupe Caisse des dépôts pour le changement climatique et président du think tank I4CE
Menace sur le vin, Les défis du changement climatique par Valéry Laramée de Tannenberg et Yves Leers
Le doute n’est plus permis. Le changement climatique a un réel impact sur la vigne, donc sur le vin.
Depuis 30 ans, le vin a gagné un degré d’alcool par décennie. Plus de soleil réjouit le vigneron : il bonifie le vin au nord de la Loire et fait grimper l’alcool dans le Sud. Mais, à long terme, c’est une autre histoire. Les cépages vont changer, le système des appellations aussi. Demain sera un autre vin. Là où la vigne aura survécu, là où la vigne renaîtra. Les enjeux socio-économiques sont énormes et c’est tout un secteur qui doit évoluer. Jusqu’à quel point ? Le problème n’est pas simple. En France, selon les régions, les vignerons ne subissent pas les mêmes contraintes et les réponses sont d’ores et déjà différentes. Ailleurs, si l’Allemagne et l’Angleterre se réjouissent, l’Espagne et la Californie se désespèrent. Que boirons-nous en 2030 ? Et en 2050 ? Certains cépages résisteront-ils mieux que d’autres ? Les techniques seront-elles capables de s’adapter ? Jusqu’à quelles altitudes – et quelles latitudes – la vigne pourra-t-elle s’acclimater ? Le salut passerait-il par le bio ou la biodynamie ? Les auteurs sont tous deux journalistes. Valéry Laramée de Tannenberg est rédacteur en chef du Journal de l’environnement, il travaille notamment sur les questions liant l’énergie au changement climatique. Yves Leers, spécialiste du développement durable et du changement climatique, est entre autres consultant pour l’Atelier du climat.
« Consommez écologique – Faits et gestes » (208 pages, 18 €) le premier livre de Matthieu Combe, fondateur de Natura Sciences vient de paraître en librairies.
Ce livre fait le tour des grands enjeux environnementaux et explique avant toutes choses les faits qui doivent nous pousser à vivre de façon plus écologique.
En se basant sur des études scientifiques reconnues et des entretiens avec des experts, Matthieu Combe, adhérent de l’AJE, invite le lecteur à comprendre les problématiques environnementales nous fournit des conseils d’achats et de comportements à adopter pour diminuer notre empreinte écologique.
En savoir plus sur l’ouvrage
► Planète Verte, avec le soutien de Novethic et de l’ADEME, Livre blanc « De la COP21 à la COP22 : Les défis du changement climatique pour mon entreprise »
► Le ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer et I4CE-Institute for Climate Economics, Edition 2017 des « Chiffres clés du climat – France et Monde ».
► Le CNRS lance la revue Carnets de science, sa première revue d’informations scientifiques destinée au grand public, le 3 novembre 2016.
Éditée par CNRS Editions et mise en vente dans les Relay et les librairies, cette revue semestrielle de 200 pages richement illustrée a pour but de faire découvrir les coulisses de la recherche et de donner du sens à la science.
► Le financement des villes durables : opportunités depuis l’adoption de l’Accord de Paris, Sur proposition de l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD), I4CE, accrédité comme Observateur auprès du Fonds Vert pour le Climat (FVC), a contribué au numéro 103 de la revue trimestrielle publiée par l’IFDD, Liaison Énergie-Francophonie (LEF) sur le thème « Développement durable en question : les villes comme laboratoire » paru le 22 septembre 2016.
► Comité21-Dépêche spéciale COP22 n°1